Le 1er avril 2022, la CEPC a publié l’avis 22-1 dans lequel elle considère que l’infraction d’avantage sans contrepartie est inadaptée et celle du déséquilibre significatif loin d’être « évidente à caractériser » s’agissant du fait pour un distributeur d’imposer à un fournisseur d’apposer le nutri-score sur ses produits.
Je reviens en détail sur cet avis, dans le cadre d’un article coécrit avec Margaux Stosskopf et qui a été publié dans la Revue Lamy de la concurrence (numéro 2022/119) – article accessible sous réserve d’abonnement.